Parce que parfois nos expériences de vie ont été (sont encore) moins que joyeuses.
Parce que parfois certaines situations, certains comportements se reproduisent malgré nous.
Parce que, pour me sentir libre d’être et d’exprimer qui je suis j’ai besoin de me sentir en sécurité avant tout à l’intérieur.

Je vous propose une exploration en Sécurité de vos contrées Intérieures à la rencontre des ressources insoupçonnées que votre système a mis en place pour survivre et qu’il pourrait désormais mettre au service de la Vie que vous souhaitez.

En présentiel à Joyeuse dans le sud de l’Ardèche ou à distance par téléphone ou en visio

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Pour VIVRE LIBRE à l’extérieur, je dois avant tout me SENTIR LIBRE à l’intérieur et pour cela j’ai BESOIN de retrouver un sentiment ET une perception physique de SÉCURITÉ INTERNE.

Alors seulement je peux sortir de mes modes de fonctionnement automatiques de survie et faire des choix conscients et éclairés en connexion avec toutes les dimensions de mon être et toutes les capacités de mon néocortex (cerveau supérieur spécifique à l’être humain)

Toute menace, réelle ou perçue comme telle active automatiquement, en tout être humain, les centres nerveux archaïques de gestion de notre survie :
→ Une émotion : La Peur
→ Des réflexes biologiquement préprogrammés dans notre cerveau reptilien : Combat, fuite ou figement.
En cas de danger réel ces mécanismes, par leur rapidité sont au service de notre Survie.

Lorsque la menace perçue n’est pas liée à un danger réel, alors ces mêmes mécanismes deviennent des entraves à une Vie libre, créative et en lien.
« Ne permets jamais à quiconque de te soumettre, ni de te rebeller » Marshall B Rosenberg
Soumis ou en Rébellion (lutte/conflit) contre l’autorité, le système, mes défauts…, je ne suis pas libre.
Je réagis au lieu d’agir, je survis plutôt que de Vivre.

Les découvertes récentes (moins de 20 ans) en neurosciences (Théorie Ployvagale mise en évidence par Stephen Porges) nous apprennent :
Comment retrouver la sécurité interne basée sur une physiologie régulée
Comment nous libérer durablement
– des schémas de fonctionnement automatiques qui nous contrôlent.
– de nos peurs irrationnelles.
– des relations toxiques à nous même : addiction, autocritique, dévalorisation, manque de confiance et d’estime de soi, sabotages…
et aux autres.
La compréhension physiologique/biologique de notre fonctionnement neurologique de survie a permis de développer des approches thérapeutiques nouvelles pour une guérison en profondeur des traumatismes liés à nos conditionnements éducatifs et culturels en impliquant simultanément tous les niveaux d’expérience : sensation, image, comportement, émotion, pensée.

Ce sont ces approches, qui m’ont permis de dépasser des traumatismes très anciens (prénataux , précoces et répétés pendant l’enfance et l’adolescence), me permettant progressivement de retrouver un espace de sécurité intérieure et la liberté d’explorer plus largement le monde, les relations et mes potentiels.
Après les avoir expérimentées et m’y être formée, j’ai maintenant à cœur de partager ces découvertes au travers de conférences et ateliers que j’anime et en séance individuelle pour toute personne en recherche de mieux être durable, dans le cadre d’un partenariat d’exploration.

« Le traumatisme est inhérent à la condition humaine. Il n’est pas la conséquence d’un événement mais la conséquence de la réaction (salutaire) du système nerveux de la personne à un événement qui a dépassé sa capacité à y faire face par une réponse sensorimotrice adaptée. » Peter Levine (Réveiller le Tigre)

« Ce postulat a 3 conséquences positives pour les personnes traumatisées.
La première est que chaque personne traumatisée possède son propre potentiel de guérison.
La deuxième est que chaque personne traumatisée peut participer activement et en conscience à son processus de transformation dans le cadre d’une approche humaniste respectueuse de sa liberté avec le soutien du thérapeute.
La troisième et non la moindre : le traumatisme n’est pas une condamnation à vie puisque lié non pas à la situation initiale mais à la trace laissée (le figement). Si les symptômes du traumatisme étaient liés à l’évènement initial il seraient irréversibles, cet évènement passé ne pouvant par définition être modifié. »
Michel Schittecatte (Préface à l’édition française de Guérir par-delà les mots de Peter Levine)